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The outside looking in ft. Warren

Sam 9 Déc - 12:50


 
I’m on the Outside looking in…
Warren Smith & Anamarie Constantin


I'm a satellite, I’m on the outside, lookin' in, They don't know just where I've been, Unless you let me in. Oh ça avait été compliquer cette enquête. Je ne me souvenais plus le nombre de fois où j’étais resté au bureau pendant des heures sans être capable de la résoudre. Même quand Cameron finissait pas abandonner les soirs, je continuais de travailler sur ce dossier. Honnêtement, il y avait eu quelque chose au sujet de ce dossier qui m’avait intrigué, j’avais eu besoin de le résoudre. Si je n’y arrivais pas, j’avais l’impression que j’allais perdre la tête. J’y avais mis toute mon âme et finalement ça avait cliqué. Les pièces du casse-tête s’étaient agencées assez rapidement et ce matin armées d’un mandat de perquisition et un mandat d’arrestation, j’avais dirigé un groupe de policier vers une réussite. C’était tout un exploit pour moi. Malgré que nous ayons été deux à travailler cette affaire, j’étais celle qui avait tout résolu et qui avait agencé toutes les pièces du casse-tête. Et pour être honnête, j’étais plutôt fier de moi-même. C’était toute une réussite pour moi et j’avais décidé d’aller prendre une bière ce soir après le travail pour célébrer ma réussite. J’avais choisi un petit bar que j’aimais bien et fait passer le mot que j’avais l’intention de célébrer. Mais croyez-moi, je ne pensais pas que toute la station finirait au bar avec moi. Le capitaine avait appelé pour réserver la salle VIP du bar et tout le monde s’était retrouvé autour de bière pour célébrer mon exploit. Et moi, de mon côté, j’étais juste heureuse de ne pas me faire gronder, pour une fois. 
 
Je m’étais présenté au Vinyl bar pour retrouver mes collègues de travail qui m’attendait pour une petite surprise. Salle VIP loué pour la soirée, et un excellent gâteau pour couronner le tout. Je m’étais soudainement senti comme une membre de l’équipe. C’était plutôt nouveau pour moi qui avais toujours l’impression de ne pas vraiment appartenir à cet endroit, enfin, en dehors de quelque collègue avec qui tu avais été à l’académie de police en compagnie de. Me poussant à socialiser avec ceux que je ne connaissais pas autant. Parmi ces nouvelles rencontres, il y avait Warren avec qui je discutais depuis quelque temps maintenant. Il était celui qui avait cuit le gâteau que tous avaient dévoré avec engouement. Je devais m’avouer avoir été surprise qu’un gâteau aussi délicieux eût été cuisiner par un collègue, mais bon comme à ce moment-là je ne connaissais pas tellement l’homme je me disais qu’il devait être une anomalie parmi mes collègues. Oh oui, ceux que je connaissais n’étaient pas des fins cuisiniez. Certains auraient pu bruler de l’eau même. Pour être bien honnête, je me disais souvent que la plupart d’entre eux étaient chanceux d’être mariés à des gens qui avaient le temps d’apprendre à cuisiner parce qu’ils étaient des catastrophes. Alors c’était avec curiosité que je lui parlais parce que je voulais savoir comment il avait cuit ce gâteau.
 
Mon téléphone avait sonné à plusieurs reprises durant la soirée et j’avais pu parler avec ces cousins pendant quelque minute avant de retourner à la fête. Ma famille était au courant de mon exploit aujourd’hui et ils avaient cherché à me féliciter. Mais après avoir commencé à discuter avec Warren et comme j’avais plutôt apprécié la discussion, je m’étais mise à ignorer mon téléphone. De toute façon, je me doutais que c’était surement les derniers membres de ma famille qui cherchait elle aussi à me féliciter. Je me disais que je pourrais leur parler demain dans la journée alors j’avais ignoré mon téléphone. Alors que je demandais à Warren comment il faisait pour faire une pâtisserie aussi délicieuse mon cellulaire s’était mis à sonner sans arrêt. En devenant un peu ennuyant pour être bien honnête il était impossible de l’ignorer. Je plongeais ma main dans la poche de ma chemise pour répondre. « Je suis désolé, il semble qu’il y a quelqu’un qui veut réellement avoir mon attention. » C’était maintenant que je m’apercevais qu’il ne restait que moi et lui dans la pièce. Mais il était quelle heure et quand est-ce que tout le monde était disparu, hein ? « Woah, on est tout seul. Quand est-ce que c’est arrivé ? » J’avais parlé, un rire dans la voix, alors que je cliquais pour allumer mon cellulaire et regardé ce qui se passait et pourquoi il n’arrêtait pas de sonner ?
©️ Another.Pan
Anamarie R. Constantin
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Anamarie R. Constantin
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Mar 19 Déc - 6:15

Quand Warren avait entendu parler de la petite fête qui se préparait pour une collègue, ou ancienne collègue, inspectrice, Warren avait tout de suite voulu y participer. Il savait que trop bien comment on pouvait se sentir isoler et à part. Il avait même voulu faire le gâteau. Il avait longuement hésité quant au look du gâteau, finalement il opta pour un look plus féminin, mais il avait prévu faire non seulement des cupcakes pour être certain que tout le monde aurait quelque chose à se mettre sous la dent, mais aussi pour mettre une petite touche policière. Il l’avait préparé soigneusement dans son temps libre dans la journée, ainsi rendu à l’heure de la petite fête, il serait tout frai fait.

Rendu à la petite fête, il avait placé le gâteau dans la petite salle réservée au Vinyl Bar sur une table, entouré de cupcakes. Il avait placé aussi les assiettes et les fourchettes et le couteau. Il regarda le tout et sourit tranquillement pendant que les employer finissait de préparer la salle. Finalement, quand la fête commença, Warren parlait avec plusieurs personnes jusqu’à ce qu’il parle à la personne qui était à l’honneur pour la tête ! Warren discutait avec elle. La discussion était vraiment forte intéressante. Tellement que l’ancien agent d’intervention tactique avait perdu la notion du temps et que la dame avait réussi à capter toute son attention.

Cependant, à plusieurs reprises, le téléphone de la dame n’arrêtait pas de sonner. La personne se faisait soit extrêmement insistante OU elle était étrangement populaire pour recevoir autant d’appels. Généralement, quand il recevait autant d’appels s’étaient soit très très importants et urgent ou c’était de mauvaise nouvelle. Dans tous les cas, il savait que ce n’était pas spécialement positif pour lui. Il ignorait pour la demoiselle puisque, bon, on ne sait jamais.

Il allait lui répondre à sa question de comment il avait fait pour faire un aussi bon gâteau, mais il eut rapidement l’herbe couper sous le pied. Il sourit à la policière et fit un mouvement de la main comme pour chasser quelque chose dans l’air.

« Ce n’est pas grave, ne vous en faites pas ! »

Il sourit doucement et prit son téléphone envoya un message à son mari pour lui demander ce qu’il faisait de sa soirée et pour lui dire combien il l’aimait pendant que la policière regardait son téléphone. Il souriait bêtement en regardant la réponse de son homme. Il releva les yeux vers la femme et regarda autour de lui et resta un moment surpris avant d’éclater de rire.

« Ah ouais quand même ! Je n’ai aucune idée quand ses arrivé… »

Il regarda un peu autour de lui et sourit à la dame.

« En fait, pour en revenir à votre question sur mes pâtisseries… c’est qu’en fait, ç’a toujours été une passion. Puis un ami est venu manger à la maison, il a tellement aimé mon dessert qu’il a décidé de m’inscrire à l’émission “Le meilleur pâtissier” à la blague… au final j’ai été pris et contre toute attente j’ai gagné ! Depuis, j’ai ouvert une pâtisserie et j’ai dû me trouver un autre emploi moins demandant. Si tu veux, je vous donnerais le nom de ma pâtisserie, vous pourriez passer quand vous voudrez ! »

Il sourit tranquillement puis il entendit le bruit d’une porte se verrouiller après s’être fermé fortement. Il fronça des sourcils et partit en courant vers la porte de la petite salle VIP. Il essaya de l’ouvrir et fronça des sourcils. Il soupira et se tourna très tranquillement… trop tranquillement vers la femme…

« Je crois que nous somme enfermer ici… c’est verrouillé et ça ne s’ouvre apparemment pas de l’intérieur… »
Anonymous

Invité
Invité


Jeu 28 Déc - 18:25



I’m on the Outside looking in…
Warren Smith & Anamarie Constantin


I'm a satellite, I’m on the outside, lookin' in, They don't know just where I've been, Unless you let me in. La discussion avec Warren était intéressante. Je le connaissais à peine, il fallait dire qu’on n’était pas nécessairement dans le même département à la station, mais en plus j’avais entendu dire qu’il se retirait de son emploi de policier pour un autre choix de carrière. Je m’étais demandé ce qu’il avait en tête, mais je ne le connaissais pas et ce n’était pas de mes affaires. Mais en sachant qu’il était celui qui avait préparé le gâteau et les cupcake, ça avait ouvert la place à la discussion entre moi et lui. Il s’avérait être plus intéressant et j’avais ignoré mon téléphone qui sonnait à plusieurs reprises. Je pouvais seulement l’ignorer pendant un certain temps avant de m’impatienter et décider d’y répondre. Ça devait être un membre de ma famille qui tentait absolument de me contacter. J’avais en tête que c’était probablement Dimitri, c’était son genre de téléphoner à répétition quand il avait quelque chose à dire et qu’il voulait que je réponde. Je souriais en m’excusant du fait et je remarquais finalement qu’on était maintenant seul. « C’est surement un de mes cousins, ou mon oncle et ma tante. » Non pas ma mère ou mon père. C’était complexe à comprendre, mais mon oncle et ma tante étaient mes parents depuis que j’avais six ans. Ouais, pas si compliquer, les gens comprenaient assez facilement que j’étais orpheline avant même que je ne leur confirme. Je regardais mon téléphone et je ne reconnaissais pas le numéro immédiatement. « Ou… pas. » J’arquais les sourcils en me demandant qui pouvait bien être en train de m’appeler. Je ne répondais pas parce que l’appel s’arrêtait et soudainement un message apparaissait sur mon téléphone. « Profite bien de ton tête-à-tête. »
 
Oh j’avais bien reconnu le nom de la personne cette fois. Puisqu’il était dans mes contacts. Un collègue de travail quand j’étais un simple patrouilleur. Il était devenu un ami avec les années et bien entendu il avait su me faire craquer avec ces pitreries assez rapidement. Avec les années on avait tenté de mettre l’autre en couple dans les scénarios les plus loufoques. Il y avait même quelque fois où je m’en étais pris à lui physiquement pour les situations dans lesquels il m’avait mis. J’avais surement un petit besoin de contrôle, après tout j’avais un passer qui démontrait ce besoin par moment, et il m’avait placé dans des situations ou j’avais été tout simplement terrifié. Cette fois, il tentait de me mettre en couple avec notre collègue ou ancien collègue. Je tentais donc de l’appeler pour lui dire que la blague n’était pas tout à fait la bienvenue aujourd’hui. La discussion était bien intéressante, mais mon instinct me criait que je n’étais pas le genre de Warren. « Je vais le tuer ! » J’avais marmonné la phrase quand il n’avait pas répondu à son téléphone. J’avais immédiatement tenté à nouveau de l’appeler et je tombais à nouveau sur sa boite vocale. Je soupirais, il était l’homme le plus désespérant que je connaissais par moment. Je regardais Warren un petit sourire désolé aux lèvres. Mon attention se tourne vers la porte quand j’entends la porte se verrouiller et Warren se lever pour aller vérifier. Je savais immédiatement ce qui venait de se passer. « Oh, et maintenant tu ne réponds pas ? Asshat ! » J’avais parlé en raccrochant et laissant tomber mon téléphone sur la table en soupirant. Au moins, je n’avais pas l’impression que Waren était quelqu’un de dangereux. Du moins, pas qu’il était le genre de personne qui chercherait à me blesser physiquement ou mentalement. C’était déjà ça de gagner. Dans d’autres situations, je serais surement déjà à la porte à tenter de la forcer ouverte.
 
Lui de son côté tentait d’ouvrir la porte avant de se tourner lentement vers moi. Je savais ce qu’il allait dire avant même qu’il n’ouvre la bouche. Je savais qu’il allait me dire que la porte était verrouillée. Je me demandais déjà quel était le montant que mon ami avait bien pu payer l’établissement pour qu’ils verrouillent la porte avec seulement moi et Warren à l’intérieur. « J’ai deviné… Je suis désolé, c’est un ancien partenaire de patrouille qui a décidé de se la jouer Cupidon… À nouveau… » J’avais parlé avec un petit sourire mal à l’aise. Oui, j’étais mal à l’aise pour lui surtout, il n’avait pas demandé à être en plein milieu des plans de fou de mon ancien collègue. Pourquoi est-ce que cet homme était celui qu’il avait choisi, maintenant l’enquêteur en moi était curieux ? Qu’est-ce qui avait décidé mon collègue à tenter sa chance pour me mettre dans cette situation avec Warren ? Pourquoi est-ce qu’il pensait que nous serions mignons ensemble, ou même parfais l’un pour l’autre. Je reculais sur ma chaise un mince sourire aux lèvres en croisant les jambes et les bras. « Nous sommes ici jusqu’à ce qu’il décide de nous libérés. À moins que vous connaissiez une autre sortie de cette pièce. » Je ne voyais pas l’intérêt de même tenter parce que de toute façon mon collègue aurait surement pensé à tout. Après la dernière fois, il avait promis de ne plus me mettre dans des positions si dangereuses, ouais j’avais encore de mauvais souvenirs de la dernière fois ou ça avait été une situation explosive avec une femme qui n’avait pas apprécié être piégée. « Mais jusqu’à ce qu’il décide de nous libérer, on peut planifier notre vengeance. Après cette offensive c’est à mon tour de le placer dans une situation comme ça. » Pourquoi est-ce que je ne me jetais pas sur l’homme et que je n’en profitais pas puisque la situation m’était offerte. Premièrement, je n’avais plus vingt ans. Et même à vingt ans je n’avais jamais été ce genre de femme. Deuxièmement, un petit quelque chose me disait que même si j’avais fait ça il m’aurait arrêté. Finalement, même s’il était bien mignon je ne le voyais pas vraiment de cette façon. Étrangement, c’était peut-être lui qui n’était pas mon genre. Je suis certaine que mon collègue ne l’avait pas vu venir celle-là, il croyait que tout le monde était mon genre. Même si honnêtement parfois j’avais l’impression qu’il me prenait pour un petit lapin qui courrait les jupons. Ce que je n’étais pas.
©️ Another.Pan
Anamarie R. Constantin
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Anamarie R. Constantin
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